Renseignements techniques
Les inventaires qui suivent sont le fruit de recherches archivistiques faites à Rome entre 1977 et 2009, tout d’abord aux Archives de la Propagande, plus tard aux Archives secrètes du Vatican, plus récemment, aux Archives du Saint-Office. Quelques inventaires de moindre dimension se sont ajoutés en cours de route tirés de fonds des Archives du Vicariat de Rome, des Archives d’État de Rome, de la Bibliothèque de la Faculté vaudoise de théologie et de la Bibliothèque du Vatican.
Plusieurs chercheurs ont été impliqués dans cette entreprise de longue haleine et de nombreux ajustements ont dû être faits au fur et à mesure que se multipliaient et se diversifiaient les fonds explorés, ajustements concernant tout aussi bien la description des documents inventoriés que la présentation visuelle des inventaires comme tels en fonction tout à la fois de la nature, des dimensions et de certaines particularités des fonds dépouillés. Il y eut aussi le problème de la langue dans laquelle allaient être rédigés ces inventaires. Il avait été décidé dès le départ qu’ils le seraient dans l’une ou l’autre des deux langues officielles du Canada. La plupart des chercheurs étant italiens, nous les avons laissés libres de choisir celle avec laquelle ils se sentaient le plus à l’aise. Certains ont opté pour l’anglais, d’autres pour le français, comme on s’en rendra compte à la lecture de leurs inventaires. Un cas particulier s’est présenté concernant l’inventaire du fonds intéressant le Canada aux Archives secrètes du Vatican pour la période 1600-1799. Confié à deux jeunes chercheurs canadiens, l’un anglophone, l’autre francophone, il en est résulté un inventaire bilingue, le français alternant avec l’anglais. Nous avons très tôt songé sérieusement à faire traduire tous les textes d’une langue à l’autre, ce qui a été le cas du tout premier inventaire réalisé, soit celui de Luca Codignola consacré aux fonds des Archives de la Propagande pour la période 1622-1799, mais cette expérience nous a fait prendre conscience du coût élevé d’une telle entreprise et nous avons été contraints d’y renoncer, faute de ressources adéquates. Nous sommes toutefois confiants que cela ne devrait pas causer un problème majeur pour la plupart des chercheurs qui fréquenteront le présent site. Dans la liste des inventaires faisant partie de la Table générale des matières que l’on trouvera plus loin, nous indiquons pour chacun d’entre eux la langue dans laquelle il a été rédigé.
En cours de dépouillement, nos chercheurs ont été confrontés à des problèmes de tous ordres concernant tout aussi bien la lisibilité de certains textes que la traduction en français ou en anglais de termes techniques propres au vocabulaire ecclésiastique ou curial que l’on trouve dans la plupart des documents inventoriés ou encore l’identification de personnes ou de lieux dont les noms n’y sont pas toujours correctement orthographiés. Il ne leur a pas toujours été possible de surmonter ces obstacles comme le montrent les points d’interrogation que l’on trouve ici et là à la suite de traductions de termes ou de corrections de noms proposés. Nous ne serions que trop heureux de recevoir de la part des usagers du présent Inventaire toute suggestion qui nous permettrait d’aller plus loin que nous n’avons pu le faire.
Afin d’éviter des longueurs et de fastidieuses répétitions un certain nombre de sigles et d’abréviations ont été employés par nos chercheurs. On en trouvera la liste au début de chacun de leurs inventaires.
On peut accéder au contenu de l’Inventaire à partir de la ‘Table générale des matières ‘ rédigée en anglais et en français. Celle-ci donne une description détaillée du contenu de chacune des parties en précisant la langue utilisée pour la rédaction de chacune.
En cliquant sur un titre spécifique, l’ordinateur nous dirige vers le contenu du texte en question. On peut toujours revenir à la ‘Table générale des matières’ en cliquant sur cet intitulé au bas de l’écran.
Il existe, à la fin de certains inventaires, des index de noms propres. Ceux-ci sont mentionnés dans la ‘Table générale des matières’.
Pour le moment, il n’existe pas de copies numérisées des documents inventoriés. Nous espérons que ce projet se concrétisera dans un avenir rapproché. En attendant, il faut s’adresser aux institutions romaines concernées pour obtenir des copies des documents d’archives désirés.
On peut imprimer sur papier ou copier en format PDF des extraits de ces inventaires. Toutefois, nous vous serions reconnaissants de respecter les droits d’auteur des personnes qui ont rédigé ces textes.