Orientation 2018 : apprivoiser l’inconfort
Dame Nature a sûrement voulu nous jouer un tour. Pas facile en effet de se délier le bassin sur des rythmes latins quand le soleil plombe… Surtout devant le regard amusé de nouveaux collègues et après avoir englouti épis de maïs et hot-dogs ! Mais sortir de sa zone de confort, n’est-ce pas un passage obligé à la rentrée ? C’est ce qu’ont constaté les participants à Orientation 2018 que nous avons pris le temps d’interroger. |
Dompter sa nervosité De nombreux étudiants amorcent ces jours-ci leurs études universitaires la tête remplie d’idées et le ventre, c’est un fait, plein de gargouillis. « Je suis un peu nerveuse, admet Camille Ouelle-Lépine, étudiante de première année au baccalauréat en relations humaines et spiritualité, car je reviens d’une année sabbatique, mais je suis vraiment excitée à l’idée de rencontrer mes camarades et d’échanger avec eux. » |
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Trouver ses repères L’USP a beau être un campus à taille humaine, encore faut-il prendre le temps de le découvrir pour s’y retrouver. C’est justement ce qu’a fait Amoussou Guenou Emmanuel Jordy, étudiant de première année au baccalauréat en études de conflits, en participant à l’une des nombreuses visites guidées organisées dans le cadre d’Orientation 2018. « J’ai beaucoup aimé mon expérience », nous a-t-il confié. |
Tisser des liens Quiconque entre à Saint-Paul trouve rapidement sa place et se lie d’amitié avec les gens en très peu de temps. Kevin Okendembo, étudiant de première année au baccalauréat en éthique publique, en sait quelque chose. « La séance d’orientation était magnifique et le service, agréable. On nous a accueillis d’une manière spéciale, raconte-t-il. À présent, je sais où aller quand j’ai besoin d’un service… » |
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L’équipe d’Orientation 2018 a visiblement remporté son pari. Remarque : Cet article a été rédigé en collaboration avec Amadou Mfondi, candidat au doctorat en études de conflits et étudiant ambassadeur. |

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