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École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère
L’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère s’engage à s’attaquer à la question de la réduction de la pauvreté sous toutes ses formes : la pauvreté en lien avec la santé physique et mentale, la pauvreté dans le domaine de la participation civique, la pauvreté intellectuelle en raison du manque d’éducation, la pauvreté situationnelle causée par les catastrophes naturelles et la pauvreté spirituelle, pour n’en nommer que quelques-unes. Cette nouvelle École nous permettra d’avoir une incidence sur les communautés marginalisées, tout en facilitant le lancement d’entreprises sociales commercialement viables.
La mission de l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère est de :
- Fournir une formation théorique et pratique dans le domaine de l’action collective et des innovations sociales s’inscrivant dans les communautés locales;
- Transmettre des savoirs liés à l’émergence de nouveaux modèles d’organisation, de pratiques sociales et d’engagement citoyen permettant la lutte contre les inégalités sociales et les différentes formes d’oppression ainsi que la réduction de la pauvreté; et
- Développer les valeurs suivantes : le savoir, l’esprit critique, le leadership, la créativité, l’engagement social et la solidarité.
L’École offrira un programme équilibré incluant les outils requis pour former non seulement des agents de changement social, mais des entrepreneurs avec des compétences dans des domaines tels que le développement de nouveaux produits, les études de marché/de faisabilité, le développement durable, les ventes et le marketing, la propriété intellectuelle et les pratiques commerciales durables.
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« La relation entre les Sœur de la Charité d’Ottawa (SCO) et l’Université Saint-Paul date de sa fondation et, dès le début, elle est devenue une histoire de collaboration et de partenariat. » Sœur Rachelle Watier, animatrice générale des SCO, souligne que c’est la philosophie de la nouvelle École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère qui les a séduites. Tout comme Mère Bruyère qui «…trouvait du bonheur à soulager l’humanité souffrante, à aider l’enfant qui voulait apprendre, à écouter les personnes seules», l’École formera des intervenants et intervenantes qui viendront en aide aux moins nantis afin de les outiller à se sortir de situations précaires. » - Sœur Rachelle Watier, sco |
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